Le racisme antiblanc n'existe pas !

Pourquoi le racisme antiblanc n’existe pas ?

Le racisme est fondé sur la notion de race, et cette notion scientifiquement fausse permet de catégoriser les populations entre race supérieure et races inférieures. Or, 85 % de la diversité génétique se trouve à l'intérieur des groupes dits "raciaux", tandis que seulement 15 % se trouvent entre ces groupes. 

La race supérieure est aryenne pour les nazis ou blanche pour l’extrême droite. Ce qui revient à peu près au même. Racisme désormais camouflé en xénophobie ou en différence culturelle ou religieuse, ce qui semble plus soft. Rappelons que l’espèce humaine est née en Afrique. 

Quand les personnes dites « racisées » - donc au faciès qui ne plaît pas aux identitaires - expriment un rejet des blancs, cela ne correspond pas à une catégorisation raciale de leur part, mais à un rejet de la domination qu’exercent sur elles les blancs. Domination exercée depuis leur naissance dans tous les domaines de la vie sociale : école et travail principalement.

Cette catégorisation justifie l’inégalité de droit, fondement de l’État de droit. Cela veut dire aussi, rejet de la Déclaration universelle des droits de l’homme ou celle du citoyen de 1789. Cela veut dire rejet de la démocratie qui reconnaît un universalisme de l’être humain et de ses droits.

Cette terminologie de « racisme antiblanc » relève de la sémantique de l’extrême droite née aux États-Unis (pays raciste), dans les années 70, repris par Jean-Marie Le Pen, tous les groupuscules de la fachosphère, Zemmour, Bardella et Marine Le Pen.

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