L'extrême droite prête à collaborer pour la paix comme en 40

Sous les fallacieux prétextes de vouloir la paix et que les pays amis financent leur autodéfense, Donald Trump est en train d’instaurer la loi du plus fort en remplacement des Droits humains et du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes.

Il décide avec l’agresseur Poutine de ce que va devenir l’Ukraine ; il décide de donner raison aux colons Israéliens pour faire disparaître un peuple en s’appropriant Gaza pour des projets immobiliers ; il manœuvre pour s’approprier une terre européenne, le Groenland ; il met une terrible pression à son voisin canadien pour l’annexer ; et menace de reprendre le contrôle du canal de Panama alors qu’il sous autorité panaméenne.

Trump ne veut évidemment pas la paix. Ses propos laissent même à penser qu’il souhaite que l’UE entre en guerre pour la perdre.

Pendant ce temps-là, l’extrême droite accuse l’UE, comme Trump, de vouloir la guerre alors qu’elle veut surtout que l’Ukraine reste souveraine chez elle. L’extrême droite défend à corps et à cris la souveraineté nationale ici, mais pas en Ukraine. Décidément, l’âme de la collaboration est toujours vigoureuse en extrême droite ! Sous le vernis de la cravate, pour vouloir la paix, elle souhaite la victoire de l’agresseur.

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